31 dic 2016
Via Inmarsat:
pesce cenone rinviato, intanto auguri a tutti!
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26 dic 2016
Via Inmarsat:
mezzo ai pesci
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23 dic 2016
Via Inmarsat:
cena con tonnetto quotidiano.
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21 dic 2016
Via Inmarsat:
Che goduria.
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15 dic 2016
Via Inmarsat:
bell aliseo, barca e famiglia tutti ok
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10 dic 2016
navigation dans l'archipel
Nous pouvons à présent nous aventurer à la découverte de l'archipel. La navigation est délicate. Les fonds marins sont particulièrement irréguliers (on passe soudainement de 20 m de profondeur à 2) et les marées particulièrement importantes. Comme il s'agit d'un archipel, il y a beaucoup de rochers et de bancs de sable à fleur de l'eau, invisibles à marée haute mais bien présents quand même. Il est préférable de ne pas aller s'y échouer. (qui viendrait nous récupérer là ????)
7 dic 2016
Ci si avvicina alla partenza per la transat
29 nov 2016
Qualche foto Bijagos
28 nov 2016
virée à Bissau
Avant de partir nous perdre dans l'archipel complètement sauvage, on doit s'approvisionner un peu. Compte tenu de la pauvreté des villages, on doit se rendre à Bissau, la capitale qui a priori a un marché riche et des supermarchés correctement achalandés. Les jours précédents cette virée, nous travaillons à établir une liste précise de ce qu'il nous faudrait a minima pour passer un mois ici mais aussi en repérage pour notre approvisionnement en vue de la transat qui nous attend. Il faut aussi recharger nos bombonnes de gaz.
Rien qu'en dressant la liste, nos papilles s'agitent. Depuis le départ de Madère, notre panier de courses revient souvent rempli des mêmes denrées œufs, pommes de terre, oignon, et concombre et potiron les jours de chance.
On forme 2 groupes : Roberto et Bora restent à bord pour faire un réapprovisionnement d'eau et rattraper le retard dans les cours de CNED. Tea et moi sommes donc missionnées pour le ravitaillement à terre.
Nous avons rendez-vous avec le bateau taxi à 6h00, on récupère d'autres passagers au campement et à Bubaque et nous voilà parties pour une traversée de 2h à moteur. Arrivées à Bissau Sherif, le conducteur de notre bateau taxi a été désigné par Solange pour nous accompagner. Son aide n'est pas de trop. Déjà pour nous orienter dans la ville, car je n'ai bien entendu aucun plan de la ville et il n'y a pas de nom de rue. Aussi pour nous déplacer en « un taxi », c'est-à-dire en voiture collective : le chauffeur s'arrête tant qu'il considère qu'il de la place, c'est-à-dire que je finis toujours avec Tea sur mes genoux. Enfin pour m'aider à porter les sacs et bombonne de gaz.
Le marché est à la hauteur de nos attentes, beaucoup de fruits exotiques ( fruits de la passion, goyave, papaye, …) des légumes frais à profusion relativement chers dans un pays où rien n'arrive à pousser. J'évite les étales de viande, pas tout à fait aux standards d'hygiène occidentale.
Mission gaz aussi accomplie, mais je ne peux pas recharger notre bombonne sur place et je dois en acheter une nouvelle qui pèse plus de 15kg. (Roberto se chargera de transférer le gaz de l'une à l'autre selon un système très sioux que je suis sûre il n'aura pas manquer d'expliquer sur le blog en italien). L'aide de Shérif est la bienvenue pour s'orienter dans le marché et trimballer tous nos achats.
Dernier objectif, supermarché. Là en revanche, c'est la douche froide. Adieu pâtes Barilla, Ketchup, moutarde et café. Bonjour tomates en boites produite en République démocratique de Chine, spaghetti halal made Egypt et conserves de légumes recouvertes de poussière. Mon moral tombe à zéro car je nous vois pas partir avec « cela » pour 3 semaines en mer. On touche le fond.
Tant pis, je prends le minimum disponible, et on repart, Shérif nous attend pour rapporter tout cela au port. Il fait chaud, on est collé dans le taxi collectif, Tea me demande d'ouvrir la fenêtre mais vu la tête de la portière, je lui dis qu'il est préférable d'attendre d'être arrivées.
Nous déchargeons tout dans notre bateau taxi qui repart à 16h et nous invitons Shérif à nous accompagner pour un déjeuner bien mérité.
Sherif nous raconte un peu sa vie, 2 mariages, 11 enfants dont 3 morts en bas-âge. Il a laissé sa famille au Sénégal pour travailler dans l'archipel Bijagos, la séparation est dure mais pas le choix. Il raconte tout cela avec un grand sourire qui laisse apparaître une dentition blanche parfaite. Il est très attentionné avec Tea, dans le marché, il ne lui lâche jamais la main. Nous sourions quand une marchande de pain demande à toucher les cheveux blonds de Tea. Ce n'est pas tous les jours qu'une une mère et son enfant blancs viennent faire leurs courses dans le marché de Bissau. Sur le chemin du retour, on nous salue régulièrement.
Nous repartons avec notre bateau taxi, cap sur le campement et sur Brancaleone. Nous avons pris des clients brésiliens avec nous, plus des bidons de gasoil pour les besoins de fonctionnement du campement, nous sommes particulièrement chargés et mettons presque 3 heures pour rentrer. Tea est assise à côté de Sherif pour la protéger des embruns, puis épuisée elle vient s'endormir à côté de moi.
Shérif nous dépose avec nos courses au voilier le soleil a déjà disparu derrière l'horizon, je le remercie chaleureusement et je ne suis pas mécontente de remettre enfin les pieds sur Brancaleone.
--
25 nov 2016
perte de vue, palmiers et végétation luxuriante, des valses d'oiseaux
divers et variés en fonction des heures de marée.
Après 6 jours de navigation et 2 jours consacrés aux formalités
administratives ( pas des plus aisées car administration plutôt
tatillonne et réputée corrompue) et au ravitaillement ( Ok pour l'eau
mais très, très, très succin pour le reste, on va devoir trouver
ailleurs) nous mettons pied à terre au sud de l'île de Rubane à Punta
Anchaca .
Ayant à peine accostés, nous sommes accueillis par Solange et MmeWall
( ???) les 2 propriétaires du lieu. Tea et Bora se jettent dans la
piscine cachée derrière des palmiers avec vue sur mer, Roberto sur une
bière et moi en mal de socialisation je bombarde Solange de questions
sur l'archipel et l'histoire du campement.
Nous revenons les jours suivants déjeuner et profiter de la piscine
après nos dures heures d'étude de CNED le matin. Nous restons là
jusqu'au coucher du soleil et avant de repartir, Solange fait mettre
dans notre annexe chaque soir un ravitaillement différent, viande,
poisson, tomates, salade, pastèque et même une bouteille de vin.
Mais voilà, arrivés jusqu'à l'archipel des Bijaigos, cela se mérite.
- Une navigation plutôt pénible à cause de la position inhabituelle de
la Zone de Convergence Inter Tropicale sur notre route (en théorie
placée au niveau de l'équateur, la ZCIT est le fameux poteau noir des
navigateurs en solitaire): absence totale de vent. On a du poursuivre
au moteur pendant 2 jours dans une atmosphère lourde et humide sans
même une petite brise. La chaleur s'accumule dans le bateau (34°C),
même en dormant, on transpire.
- Un mouillage difficile devant Bubake, (chef lieu de la région,
passage obligé pour les démarches administrative) au milieu d'un canal
à très fort courant, jours de coefficient de marée particulièrement
important (116 sur 120).
- Le moteur de l'annexe qui se casse au milieu de rapprovisionnement en eau
- La chaîne de notre ancre qui se coince à 10 m de fond nous empêchant
de quitter Bubake. Nous avons eu recours à l'aide de 3 garçons du
village, un pour traduire ( les autres ne parlant que le créole), et
les 2 autres se relayant sous l'eau pour nous guider à manœuvrer le
bateau de façon à dégager l'ancre coincée sous des rochers.
- Enfin, une navigation plutôt exploratrice car l'endroit est peu
fréquenté par des voiliers de plaisance, donc peu cartographié. Au
campement, Solange dit que nous
sommes le 2ième voilier qu'elle voit passer en 2016.
Mais maintenant que nous y sommes, nous pouvons pleinement en profiter
et ce ne sont pas les endroits magnifiques et sauvages qui semblent
manquer ici.
départ du Cap Vert
sont mitigées. Certes le séjour de 10 jours à Mindelo, port d'entrée
obligatoire mais ville sans grand intérêt et habitants peu
accueillants vient biaiser notre impression globale du pays.
Nous avions besoin de connexion internet pour envoyer les évaluations
du CNED et faire un minimum de ravitaillement, maintenant nous pouvons
partir à la découverte des îles. Mizar, voilier avec un équipage fort
sympathique nippo-néerlandais (mais résidant en temps normal en
France) nous accompagne pour quelques temps. Nous allons ensemble de
mouillage et mouillage et échangeons conseils de navigation contre
conseils de cuisine japonaise….
Notre dernière escale nous amène à Boa Vista, lieu surprenant.
Quelques structures hôtelières se sont installées en bord de mer sur
ces plages paradisiaques et sont tenues majoritairement par des
italiens. Cette présence a eu semble-t-il un impact direct sur l'offre
du marché et du supermarché local. Alors que sur les autres îles, nous
devions nous contenter de pommes de terre, oignons et potiron, ici le
marché regorgent de tomates, d'aubergines, et de basilic frais … un
passage au supermarché nous dévoile un choix de pâtes et de sauces
tomate divers et variées, il y a même du parmesan et un fromage local
qui s'apparente à de la ricotta. La preuve, s'il en fallait une, de
l'impact du tourisme sur les habitudes de la population locale. Mais
je serais bien la dernière dans ce cas-là à m'en plaindre, Je remplie
allègrement mon sac de courses.
Le temps s'écoule donc doucement, nous découvrons un Cap Vert beau et
encore sauvage et des habitants chaleureux et accueillants. Toutefois
les mouillages restent parfois inconfortables et l'accès à terre
souvent sportif.
Toutefois, l'heure du départ est arrivée, notre visa d'entrée en
Guinée Bissau débute le 10 novembre, il nous faut lever l'ancre et
dire au revoir à Mizar que nous quittons à regret. Peut-être que nos
routes se croiseront à nouveau au Brésil, qui sait …
23 nov 2016
Via Inmarsat:
spettacolare dell altro, fra scogli basalto, spiagge dorate e deserte,terra
rossa, foreste smeraldo, squaletti e tartarughe.
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18 nov 2016
Frontiere della vela
15 nov 2016
Bijagos, comincia la vera Africa
9 nov 2016
Via Inmarsat:
vergine e intatta. Magico brancaleone...
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5 nov 2016
Via Inmarsat:
cosa riesca a passare.
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3 nov 2016
la vie au mouillage au cap vert : ça s'organise
Depuis quelques jours, nous allons de mouillage en mouillage dans des recoins perdus des îles du Cap vert. Il nous arrive parfois d'aller à terre quand il y a un village de pêcheur pour chercher de l'eau et quelques produits frais si on en trouve.
Pour l'eau c'est relativement facile, les îles sont équipées de dessalinisateurs, on arrive avec nos jerricans vides et payons au litre.
Pour le poisson aussi, il y en a à profusion. En revanche pour le reste, l'offre est disons plutôt restreinte. Les îles sont arides, d'origine volcanique comme Madère, avec très peu de pluie, il n'y pousse pas grand-chose. Hormis des pommes de terre et des oignons (certainement importés) , il n y a quasiment rien de frais. Tout est en conserve ou sous vide, rien de bien alléchant.
C'est maintenant que nous commençons à apprécier pleinement nos réserves stockées sur le bateau.
Petit retour en arrière : une vie à bord agréable et sereine nécessite un sens aigu de l'anticipation, on trouve à bord ce qu'on a pensé y mettre.
Pas d'Accastillage diffusion ni de Carrefour en face du mouillage (heureusement d'ailleurs). D'où le temps que Roberto a déjà consacré à la partie technique et que nous avons consacré précédemment à :
- organiser ravitaillement et stockage à bord. On doit se débarrasser de tous les emballages, inutiles et encombrants, car ensuite en mer nous n'aurons pas d'autre choix que de les garder avec nous : pas de bac vert ou jaune à proximité.
Il faut aussi ranger avec un minimum d'organisation car ce n'est pas en pleine navigation, quand le bateau tangue qu'on peut rester la tête en bas dans une cale à la recherche de la brique de soupe de poisson ou le paquet de riz.
- mais aussi à chercher des idées d'activités pour occuper les filles sur les heures creuses ( navigation ou mouillage) car nous refusons de céder à la facilité des tablettes.
Nous avons donc créé une sœur à la fameuse boite « à coup dur » (qui elle n'a plus besoin d'être présentée) la boite « à activités » : remplie de tubes de peinture, pistolet à colle (qui fonctionne avec du 220 V, donc complètement inutile sauf au port, c'est à dire pour nous pas avant le Brésil dans 2 mois environ), pâte Fimo, perles, ficelles et fils, papiers de tout type pour occuper les petits doigts de nos filles et les miens aussi.
Je confesse qu'en navigation, une activité « bracelet brésilien » fait passer agréablement le temps. Pour la Gomera-Cap Vert, on s'est lancé dans le macramé.
- Et enfin, il nous a bien aussi fallu anticiper toutes les fournitures dont Tea et Bora pourraient avoir besoin durant leur scolarité. Mieux vaut ne pas avoir besoin de copie A4 petit carreaux pour le devoir de géométrie de Bora en pleine traversée. (même si là nous avons des appuis techniques en France avec Jacques qui nous envoie par la poste les cahiers manquants ou Anne et Benoit qui vont jusqu'à avoir la délicatesse de se déplacer et nous apporter en main propres les cours manquants du CNED)
23 ott 2016
CAP VERT suite
19 ott 2016
Settimana horribilis a Mindelo
15 ott 2016
"Arrivano quelli dell'ARC"
14 ott 2016
Scambio di sogni con Kuarup
Mindelo, Cabo Verde
Gomera Cap Vert 7 jours de navigation
8 ott 2016
Via Inmarsat:
vento e ben due pesci (rilasciati perche in ultimi giorni mangiato oltre
tre chili di wahoo)
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7 ott 2016
Via Inmarsat:
queste ore, zona fra canarie e capo verde, terzo settentrionale? Per vedere
ex post se fatta scelta giusta andare verso africa.
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Via Inmarsat:
Sole, musichine, le figlie fanno scuola e poi ballano...
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5 ott 2016
vive le poisson
Ensuite j'ai prévu d'avancer sur le modules de macramé et de bracelet brésilien, cette activité a pour vertu de concentrer l'attention sur le nœud et de faire oublier le mal de mer (enfin jusqu'à un certain point seulement).
Pronti a partire verso Cabo Verde
3 ott 2016
Les messages en français, c'est bien... mouais
1 ott 2016
une journée type mais pas tant que cela (2/2)
Donc après ces quelques jours de navigation, nous sommes arrivés à l'île de Porto Santo à Madère. Ile volcanique comme toutes les îles de Madère, elle recouverte de roche foncée mais le processus de stratification est visible quand arrive de la mer et révèle différentes couleurs de roche superposées au cours du temps les unes après les autres.
L'ironie à présent, après s'être enfin amarinées, nous souffrons maintenant du mal de terre, heureusement c'est léger et en quelques heures oublié. Une fois touchés terre, il nous faut remettre le bateau en condition pour y habiter mode terrestre. Les vagues ayant été particulièrement généreuses, le sel de mer s'est incrusté un peu partout et il faut donc rincer l'extérieur du bateau. L'intérieur quant à lui ressemble à un champ de bataille. Tout objet n'ayant pas été bloqué avant notre départ de Rota a pu effectuer de nombreux déplacements latéraux, mais aussi verticaux au cours de la navigation grâce à la magnifique houle qui nous a secoués enfin non accompagnés...
Après une douche et un bon repas, nous pouvons reprendre une vie normale, à savoir cours du CNED, lessive ( la capitainerie est équipée de lave linge et sèche linge en self-service, très commode) et goûter aux plaisirs d'un bain de mer, la plage étant au bout de notre ponton.
En fait, quand je rédige ces lignes, je me rends compte qu'il n'y a pas de journée type. Et c'est d'ailleurs cela la beauté de cette vie, chaque jour est par construction différent puisque nouveau paysage, nouvel environnement et nouveaux contacts avec le monde externe. La routine est impossible. Nous avons bien certaines tâches qui se répètent dans notre quotidien mais jamais réalisées aux mêmes endroits ni dans les mêmes conditions. La seule routine de nos journées est qu'elles commencent au lever du jour et qu'elles se finissent avec le coucher du soleil. Et qu'au moment de fermer les yeux, j'ai rarement le temps de me poser la question de savoir pourquoi je suis si fatiguée, que je suis déjà endormie.
29 set 2016
une journée type : qu'est ce qu'on mange ? (1/2)
Pour ceux qui croiraient encore que nous sommes partis 12 mois en vacances, voici un aperçu d'une journée type.
Nous nous levons avec la lumière du soleil, après le petit déjeuner (sans écouter France Inter et sans savoir que Bernrad Guetta a fini sa chronique de 8h20 et qu'en conséquence nous sommes en retard), nous nous organisons pour avancer dans le programme du CNED. Bora assez autonome progresse toute seule, en fonction des matières, Roberto ou moi l'accompagnons. Tea a besoin elle d'être en permanence guidée dans ses apprentissages, d'une part parce qu'encore petite et ensuite parce que le programme du CNED ne nous rend pas la vie facile, la moitié des activités requiert un soit disant complément numérique qui reste encore à ce jour introuvable en ligne sur le site du Cned et donc encore moins téléchargeable si nous en avions eu l'intention.
Arrive ensuite l'heure du repas. Manger à bord d'un bateau est un temps fort, qui se prépare avec ingéniosité et créativité et s'apprécie, à son juste prix en fonction des conditions dans lesquels ce repas a été préparé :
situation n°1 au port : facile
situation n°2 en mouillage abrité : relativement aisé
situation n°2 bis en mouillage exposé à la houle : donc mauvais mouillage Roberto ne l'aurait pas choisi donc n'a pas lieu d'être
situation n°3 en navigation au moteur par mer d'huile : voir situation n°2
situation n°4 en navigation avec vagues irrégulières donc difficiles à prévoir : commence à être sportif, respect pour le cuisiner
situation n°5 navigation avec forte houle : on oublie, dans ce cas seul Roberto arrive à manger, nous les filles avec notre seau, nous passons notre tour.
Donc vous l'aurez compris à bord d'un bateau on ne plaisante quand il s'agit de s'alimenter. En plus de se nourrir manger contribue à soutenir le moral. Nous avons d'ailleurs classé nos vivres par catégories : le niveau 0 à usage courant, pour tous les jours produits trouvés localement. Le niveau 1 : besoin de réconfort, moments de vague à l'âme passagers on va chercher du sucre dans nos biscuits préférés et faire jouer la mémoire de nos patilles avec des spaghetti ou penne rigate de marques référencées à la maison. Le niveau 2 : contrariétés temporaires liées à une mauvaise météo, une mauvaise mer, un mouillage qui tourne mal dans la nuit…. On attaque dans le dur, barre de céréales préférées des filles, plaquettes de chocolat crunch ou Lindt. Enfin le niveau 3 ou communément appelé « boite à coup dur » ou encore pour le bidon de survie (en cas d'abandon de bateau) on y trouve des barres de Mars, Twix Bounty and Co que du bon pas de place pour de la sous-marque. Bien entendu, un comité apprécie le « caractère » critique de la situation et valide l'accès aux différentes boites. Cette procédure s'est revèlée nécessaire sinon nous serions en permance en niveau « crise aïgue » pour permettre aux filles de manger des barres de chocolat en continue.27 set 2016
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gomera. Vento fresco e primo pesce suicida -che eh scappato
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22 set 2016
Le depart de Rota - Daphne
21 set 2016
Premières nouvelles en français
17 set 2016
Via Inmarsat:
porto santo. 33-30n 14-23w. I brancaleoni.
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16 set 2016
Via Inmarsat:
e anche la coca cola. 34-40n 12-11w
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15 set 2016
Via Inmarsat:
Naturalmente nessun pesce. Bel tempo.
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12 set 2016
Famiglia ricongiunta a Rota
13 ago 2016
Parita' dei sessi
30 lug 2016
AIS trasmittente classe B, attenzione...
1. In condizioni di traffico "normale", con un numero relativamente ridotto di bersagli AIS classe A, non vi sono problemi specifici, il sistema funziona bene: dalla barca si vedono tutti i bersagli classe A (il traffico commerciale, navi e pescherecci), il nostro segnale (il diporto è classe B) o quello di altre barche viene visto in tempo praticamente reale. Tutto ok.
2. Quando c'è molto traffico Classe A (molte navi, molti pescherecci, eccetera), tale traffico causa dei "ritardi" nella trasmissione dei classe B.
L'AIS infatti come funziona: i trasmittenti classe A emettono con una cadenza molto più grande e hanno la precedenza sui classe B, i classe B restano "in ascolto" dei classe A e ogni 30 secondi cercano di inviare il loro messaggio (che contiene la nostra posizione e vettore velocità), se pero' "sentono" che c'è un classe A allora non trasmettono.
Di qui la constatazione che in zone con tanto traffico classe A, i classe B possano essere ritardati nella loro trasmissione.
Che significa: significa che per esempio se le altre unità "guardano" il loro schermo AIS per sapere la nostra posizione/velocità, possono avere un dato che risale a 30s, 1min, 2 min fa.
Esempio immagine di un Classe B che non è riuscito a inviare la sua posizione per 4 minuti, in quel momento il sistema indicava 35 bersagli essenzialmente classi A.
Da notare che 4 minuti a 6 nodi supponendo rotta costante rappresentano all'ingrosso mezzo miglio: le altre unità "vedono" sull'AIS una posizione mezzo miglio indietro rispetto a quella reale.
In sostanza, quando c'è molto traffico, bisogna tenere presente che se inviamo un segnale AIS, le altre unità possano essere tratte in forte inganno dai possibili ritardi.
Il Branca è seguito passo passo da una barca che gli sta tutta appiccicata. :)
25 lug 2016
Tall Ship Race, Lisbona 2, partono
24 lug 2016
La magia del terzo giorno
22 lug 2016
Tall ship race, Lisbona
La bandiera piu grande per il Venezuela
Seguito a ruota dal Messico
Cammina cammina, c e anche la nostra ammiraglia
Tedeschi e inglesi...
Note di costume
Passo vicino alla nave venezuelana, si sentono le ragazze dell equipaggio dire: "andiamo da los italianos".
Dopo un po, le cadette venezuelane salgono sull Amerigo Vespucci, non vi dico come si sono gonfiati i bicipiti dei nostri marinai :)
Dopo eh arrivato l ambasciatore italiano in Portogallo, sale a bordo e parte una sgringolata di fischi e fischietti di ogni tipo, presentat arm e compagnia, l altoparlante che annuncia la sua presenza a bordo.
Comunque, con le uniformi si vede il made in Italy, una eleganza senza paragone con quelle degli altri Paesi ahaahah.
Hanno anche messo degli enormi dischi sulle cime di ormeggio contro i topi, chissa..